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28 avril 2012 6 28 /04 /avril /2012 08:44

 

L’existence est faite de solitude, il n’y a pas d’existence sans solitude, cela n’existe pas, tout simplement parce que la solitude c’est la rencontre avec soi même, la rencontre avec les énergies que l’on porte. Une vie sans solitude est une vie morte, sans prise de conscience sur ce que vous êtes en vérité.

 

Bien sur ce face à face avec soi même est terriblement éprouvant, il faut être préparé quelque part à cela, je parle d’une préparation au sein de l’âme.

 

D’un autre côté, vous observerez que pour combler l’absence de l’Esprit, il a été proposé à l’Humanité tout un tas de savoir faire, de technologies, dont le seul but était de l’asservir encore plus, mais comme celle ci à choisi la voie de l’ignorance, il a été fait selon sa vibration et elle en recevra le prix fort. Ce qui arrive n’est pas une punition, c’est une mise au clair, une purification des énergies obscures cachant d’autres énergies encore plus obscures. C’est comme cela que fonctionne l’obscurité, ni plus ni moins.

 

Si vous ne vous êtes que rarement senti seul, du point de vue de votre Etre cela signifie juste que vous n’avez pas eu ou pas pris le temps de vous découvrir.

 

Votre humanité se trouve à ce carrefour de la conscience, où elle devra choisir entre les deux aspects qui la composent.

 

Que choisirez vous ? quelle partie de vous même préférerez vous écouter ? c’est comme pour les élections, vous ne pouvez voter que pour un seul candidat, pas deux. Cette dernière option s’appelle illusion, démagogie, mensonge, détournement et falsification de la réalité. Et pourtant c’est ce que tout le monde essaye de faire plus ou moins, pour d’un côté sauver les apparences et de l’autre ne pas perdre ce qui fait d’elle un être unique, son Essence.

 

Et donc vous allez avoir de plus en plus de mal à joindre les deux bouts, parce que si vous observez bien, les deux bouts sont des courants d’énergies qui vous emmènent selon une vibration très précise, qui vous rapproche ou vous éloigne de votre Source.

 

L’heure des choix n’est pas une demande comme on remplirait un formulaire, avec des cases oui / non à cocher. Cela c’est de l’administratif, de la paperasse pour étiqueter les êtres comme on étiquetterait des produits de consommation courante, ce qu’ils (les Archontes) ont voulu que vous soyez mais que vous n’êtes pas en Réalité.

 

Nul ne peut savoir comment il agira le moment venu, puisqu’au moment final, ce sera une décision de l’Etre et non de la personnalité qui sera appliquée.

 

L’existence est simple, consciemment ou inconsciemment, vous suivez ou refusez de suivre un chemin tracé d’avance et choisi en conscience par vos dimensions stellaires, un chemin qui permettra l’évolution de votre âme au sein de ce plan.

 

Ensuite il y a différentes catégories d’âmes, il y a celles qui ont la liberté de ne pas suivre ce chemin, qui ont la liberté de suivre toutes les projections qu’elles désirent, le but pour faire simple, étant qu’elles ‘’Encaissent’’ le plus possible, tôt ou tard, sur cette Terre ou dans l’astral, pour bien voir et se souvenir qu’il n’existe qu’un seul chemin menant à la liberté et à la réalisation.

 

Ce chemin est celui du cœur, qui est composé d’une multitude de paliers, de cap, de transformations.

 

En s’abandonnant à la Lumière, votre âme à déjà réalisé l’essentiel, mais avant comme après il y a une quasi infinité de degrés à franchir, le chemin du cœur vibratoire et non affect, étant je le rappelle le chemin de l’auto-réalisation, libération, voie qui élève.

 

A fortiori, il y a donc des âmes qui soit ont connu une liberté partielle de suivre leur personnalité, soit une absence quasi totale de liberté.

 

Ce ‘’fardeau’’ étant en fait directement relié à l’impulsion qu’à reçu l’âme, selon son degré de reliance à sa source, selon aussi sa lucidité, ses vertus etc.

 

L’âme se retrouve donc coupée des projections qui peuplent ce monde puisque celles ci ne peuvent plus rien lui apporter au niveau évolutif. Et donc elles se retrouvent obligée de suivre le seul chemin qui lui reste, la Voie Solaire, voie des Cœurs Ardents.

 

Évidemment c’est très dur pour la personnalité car ce n’est pas dans sa logique de suivre un autre chemin que le sien, qui est en fait une reproduction et matérialisation des énergies et schémas inconscients inscrits au sein de l’être humain.

 

La Lumière ne caresse jamais dans le sens du poil, sauf si c’est pour accompagner, car la Lumière est vérité. Pourquoi devrait elle dire des choses qui n’existent pas ? pourquoi devrait elle œuvrer dans le sens contraire à elle même?

 

ainsi vous comprendrez que le titre de Cœur ardent, de Fils et Filles du Soleil ne se donne pas à la légère, ce n’est pas une simple médaille que l’on vous donne pour vous faire paraître plus brillant que votre reflet, c’est en fait une reconnaissance de votre Essence et des vertus qui la caractérise.

 

Les déboires, le désespoir commence à cet instant où le macrocosme rencontre le microcosme, où la vérité rencontre l’illusion.

 

C’est toute la symbolique de l’histoire du Titanic, les êtres qui se trouvent à bord sont tellement emportés et absorbés par leurs projections qu’ils oublient qu’ils sont sur un bateau, ils dansent, ils boivent, ils fument….même les personnes de l’équipage sont à la fête. Et puis personne ne comprend rien, le navire heurte un bloc de Dame Nature et tout s’écroule. Pourquoi ? tout simplement parce qu’ils avaient oubliés qu’ils étaient sur un Océan, un Océan de Vie et que sur cet Océan il y a des choses qui vivent, qui remontent à la surface et qui parfois même restent présents sur elle.

 

C’est un très grand enseignement qui à été donné à l’humanité par cette soi-disante catastrophe, alors qu’en réalité une merveilleuse mise en lumière qui à été faite sur la conscience des hommes.

 

La Lumière va soulever ce plan, grâce aux nombreuses structures qui la relaye dans celui ci et dont vous faites partie. Elle va soulever par l’intermédiaire de mécanismes conscients.

 

Que ce que ça veut dire ? ça veut dire qu’en appuyant sur quelques boutons, les âmes vont s’ouvrir d’elles même à la Lumière, vont l’accueillir et l’intégrer, pour ensuite s’élever. Parce que si vous voulez de la même manière que vous connaissez les mécanismes inconscients tel que manger, boire… c’est un processus naturel chez l’âme que d’accueillir la Lumière.

 

Et donc l’Etre va simplement réveiller ce chemin endormi qui sommeille en chaque Un. Ensuite évidemment ce qui va poser problème, c’est la personnalité qui à tout construit et vécu depuis ce plan.

 

Or ce plan va être transmuté, vous le savez, pour cause de Bases et Codes falsifiés je crois….sourire…

 

Et donc la souffrance des personnalités et de leurs âmes qui sont attachées avec sera proportionnelle au degré d’attachement de ce Plan.

 

C’est pour vous dire à quel point ça va crier.

 

Ben oui mais personne ne voit rien, comme dans le Titanic, qu’est ce que vous voulez que je vous dise ? on (les Etres de Lumière) avons tous fait ce que l’on pouvais à nos époques respectives, tout essayer, pour vous montrer et démontrer la fausse réalité de ce plan.

 

Mais on a bien vu qu’on gênait.

 

Alors maintenant on ne va pas tourner le dos comme les personnalités qui claquent la porte, mais il faut bien réaliser qu’à part tendre la main et vous conseiller on ne peut pas vivre votre cheminement à votre place.

 

C’est la seule chose qui vous appartient en totalité en fait. Tout le reste n’est qu’éphémère. Et donc tous ceux qui étaient attachés à cet éphémère on toujours voulu reconstruire ce qui avait été détruit, dans le cycle perpétuel de l’involution de Gog et Magog, sans jamais remettre en questions les bases et fondations même de cet exercice, car cela reviendrait à remettre en cause la vie même, la vie perçue par la personnalité et cela ne pouvait être tolérée par cette dernière.

 

Donc si vous avez bien suivi mon explication, mon constat, la Lumière n’est pas une entité qui vient vous dire ‘’toi tu as été sage, toi tu as été poli, bien élevé, tu auras droit à une récompense’’.

 

L’évolution ce n’est pas cela, ça c’est ce qui s’appelle du dressage, comme pour les animaux et les êtres que l’on veut enfermer. Or vous n’êtes pas des animaux, même si les Archontes ont tout fait pour vous faire adhérer à leurs croyances. De même, vous n’êtes pas des êtres civilisés, ça c’est encore une autre de leur croyance qu’ils vous ont fait gober.

 

Moins vous serez identifiés à votre Forme et moins vous serez en décalage avec ce qui arrive, puisque votre Forme n’est pas reliée à votre Source.

 

Pour cela il faut activer un certain nombre de structures en vous, par intégration de Lumière mais aussi par un accompagnement très spécifique à ce genre de processus.

 

La transmutation du corps passe par trois phases si vous préférez.

 

Il y a d’abord la construction et mise en place des structures corporelles placées au sein de votre Merkabah, ensuite il y a l’activation et le déploiement de ces dernières dans la Forme, et pour finir il y a quelque chose correspondant à une étape ultime, mais dont je ne peux vous faire part actuellement car trop en avance sur les dévoilements actuels.

 

Cela arrivera, n’ayez crainte, mais sachez aussi qu’il faudra supporter la vue de ce qui vient, dans tous ses aspects, et pour cela la Source vous offre du temps…c’est magnifique non ?….Elle pourrait presque arrêter le temps sur ce monde juste pour avoir la possibilité de vous accompagner davantage….vous êtes de sacrés chanceux mais d’un autre côté on voit votre œuvre, individuelle comme collective….vous êtes l’humanité en modèle réduit…on vous l’a dit et maintenant on vous le redit…pour vous aider à vous voir….

 

De la même manière que l’on ne prépare pas à une randonnée en Haute Montagne muni de pantoufles et d’un savoir acquis dans des livres, feuilletés au coin du feu de votre cheminée, l’ascension ne se prépare pas en se nourrissant de mots, aussi beaux et cohérents soit ils. Allez au delà des mots, allez au devant de la difficulté, n’ayez pas peur vous êtes bien encadré.

 

Puis ensuite votre propre Source prendra le relais, vous apprendrez à la suivre sans vous posez de questions. C’est cela l’abandon, l’abandon de toute anticipations, de toutes prévisions.

 

L’abandon développe la capacité de vivre dans l’Instant et la Fluidité, il ne vous prépare aucunement à vivre ce monde mais vous permet réellement de le dépasser.

 

C’est un sacrifice à faire de la part de l’égo, il y a juste de votre part à mettre le pied dans l’étrier et à vous lancer. Le reste suivra comme par enchantement.

 

Voilà j’en ai terminé, si vous avez des questions vous savez où me joindre…rire…

 

Je vous apprend aussi que c’est la toute première fois que mon Essence est canalisée de cette façon, par channeling, pont entre les dimensions. Il faut dire aussi que je suis resté très tard sur votre monde, j’ai presque empiété sur les noces célestes…sourire… Cela était en fait une nécessité pour faire le lien entre les anciens et futurs enseignements.

 

Je suis Vijayananda et je vous exprime toute ma gratitude, toute ma joie d’avoir pu apporter un peu d’eau dans votre moulin….un moulin à paroles….éclat de rire….

 

http://www.choix-realite.org/5951/message-de-vijayananda-disciple-de-ma-amanda-moyi

 

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 08:26

Je suis celui que l’on nomme le Rédempteur.

Je suis venu compléter le message que tu as reçu d’Elie.

Oui, nous travaillerons ensemble et pour la Gloire de Dieu UN et pour les œuvres sacrées du Créateur, notre Père à tous, sans distinction de religion ou de race.

Je suis celui qui aidera celui qui doit venir dans son travail d’unification des structures internes de votre Mère-Terre ainsi qu’au niveau spirituel de vos structures élémentaires et complémentaires et de vos cellules en voie de changement elles aussi ainsi que vos structures internes et externes au niveau spirituel car sans vous ouvrir à Dieu et aux Etres de Lumière, vos changements ne se feront que partiellement et sans aucune chance d’aboutir complètement et devront apprendre à s’élever de manière à ce qu’ils arrivent au même niveau vibratoire et au même diapason que cette Terre-Mère qui vous a ouvert ses bras et que vous vous refusez à respecter.

Je ne suis pas incarné au sens que vous l’entendez mais je suis pourtant ici comme je suis ailleurs et je fus souvent en ce monde déjà. Je ne suis pas celui que vous attendez, mais je le représente avec tout mon amour et la Force de mon dévouement en cette période où tant de cœurs devraient s’ouvrir pour aider à la RE-unification entre les mondes, les peuples, les énergies, et en ce temps de retour, du moins le début du voyage de votre retour vers Dieu. Je travaille avec et pour la Trinité et les Etres qui veillent sur la partie invisible de la planète et qui devront vous aider dans votre Ascension, et avec l’Esprit de votre sphère visible et invisible. Je serai là, présent mais invisible à vos yeux,  auprès de ceux qui veulent servir et s’élever au même niveau et à la même vibration d’Amour que ce monde si imparfait mais en changement vibratoire en vue de rejoindre la 4ème dimension, cette dimension intermédiaire à laquelle il aspire.

Je reviendrai.

Le Rédempteur

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21 avril 2012 6 21 /04 /avril /2012 16:18

 

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Résumé:

 

En Nouvelle-Guinée, une équipe de savants auxquels s'est joint le journaliste Douglas Templemore cherche le fameux " chaînon manquant " dans l'évolution du singe à l'homme. En fait de fossile, ils trouvent une colonie, bien vivante, de quadrumanes, donc de singes. Mais a-t-on jamais vu des singes troglodytes et enterrant leurs morts ?

 

La question de la définition de l’homme est au cœur de l’œuvre de cette fiction. Dans cet ouvrage, à travers des références plus ou moins explicites, Vercors trace une sorte de liste des différentes définitions de l’homme qui ont pu être soutenues par des philosophes au cours de l’histoire. Ce roman est publié en 1952, après la fin de la Seconde Guerre mondiale et la révélation de ses atrocités. A cette époque, le monde philosophique et littéraire est traversé par une grande remise en question. Alors que l’homme était principalement défini jusque là par ses qualités, les hommes se trouvent confrontés à des actes d’une grande barbarie, non pas nouvelle dans son fondement, mais d’une ampleur encore jamais réalisée. Ce phénomène entraîne de nouvelles interrogations sur ce qu’est l’homme. Il n’est pas étonnant de voir que la littérature de cette époque est imprégnée de toutes ces questions.

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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 12:43

 

Je suis celui qui doit venir, s'unir aux Œuvres du Rédempteur ! J'ai été celui que vous nommez Élie.

 

Je suis celui qui fera la fusion-réunion de votre monde avec la vibration de la 4ème dimension.

 

Votre monde se prépare depuis un long moment déjà à entrer dans la vibration de la dimension supérieure, mais « votre monde » ne veut pas dire vous tous !  Ce qui ne se fera pas sans peine pour vous et vos proches ainsi que pour votre monde. Peu sont prêts à emprunter la route semée d’embûches de la mutation interne et externe qui les mènera vers la dimension supérieure.

 

Votre monde ne meurt pas, il se transforme ! Ceci vous devez le concevoir intérieurement et pas du côté extérieur des choses qui vous entourent et des conditions auxquelles vous donnez importance et nourriture dans vos cœurs ! La transformation est toujours conçue par les Hiérarchies Divines comme Accomplissement Des Travaux Intérieurs ! Je suis venu changer votre façon de voir vos religions et les unir dans l’Amour du Dieu UN, du Père de tous les hommes. Je suis venu vous apprendre à AIMER votre prochain et à faire UN avec les Enfants de Dieu, ceux que vous reniez en ce moment et qui pourtant sont vos semblables, vos frères dans le cœur du Père, notre Père à tous, et non plus détruire ce qui ne vous ressemble pas ou qui ne pense pas comme vous.

 

Oui, je dis « je suis venu » car je suis déjà incarné parmi vous, même si vous ne pouvez concevoir ma capacité à me mouvoir et communiquer avec le peu de médiums que Dieu a choisi pour que je communique avec vous.

 

Je suis ici dans votre monde et ailleurs aussi, dans une autre sphère énergétique supérieure, d’où je peux communiquer. Je suis tel que vous ne pouvez encore le concevoir mais je suis là, quelque part parmi vous ! J’observe en attendant que le moment soit venu de me manifester, mais peu me reconnaîtront. Je ne suis  pas celui qui vient en lieu et en place de celui que vous attendez mais s’Il venait avec vos états d’esprit inchangés depuis 2000 ans, vous le remettriez en croix à nouveau !

 

Je suis venu manifester L'Union dans l'Esprit chez les hommes de Bonne Volonté, car tel est le choix du Père, mais L'Union ne passe que par le Cœur !

 

Je suis près de vous mais vous ne me voyez pas. Je suis quelque part incarné dans votre Europe, prêt à accomplir ma mission quand le Père m’en donnera l’ordre. Je m’y prépare d’ores et déjà.

 

Je reviendrai vous parler. Mais je vous ai déjà parlé,  vous allez avoir la joie de me lire quand Dieu le décidera comme IL A déjà DONNE l'ordre sur le moment où mes messages seront distribués sous une autre de mes identités  bien connue de vous tous! N'oubliez jamais que Dieu VOIT Tout ce que vous faites !

 

Elie

 

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14 avril 2012 6 14 /04 /avril /2012 11:03

 

Je suis Elayah.

 

Je suis venu vous parler de ces opportunités qui vous sont offertes et que vous ne prenez pas toujours au sérieux pour avancer et pour évoluer !

 

Combien d’entre vous aident ou essayent d’aider ceux d’entre eux qui sont dans l’attente d’un éventuel ami ou évènement qui l’aidera à sortir de sa solitude, de sa profonde nuit de doute et de chagrin. Oui, c’est votre rôle à tous que d’aider votre prochain dans le désarroi, sans le juger, et toujours juste en l’aimant et l’accompagnant. Beaucoup sont si seuls dans votre société surdimensionnée où tout s’achète, même l’amour.  Non, je n’exagère pas, tout s’achète ! L’argent est devenu plus fort et plus puissant que l’amour en votre monde où tout peut s’acheter.

 

Il faut vous réveiller.

 

Aidez vos proches.

 

Aidez vos amis.

 

Aidez vos voisins.

 

Aidez ceux que vous rencontrez et qui vous semblent dans le besoin d’amour et d’amitié.

 

Réveillez-vous !

 

Un jour vous aussi avez eu besoin des autres ou aurez besoin d’eux ! Ne vous fiez pas à leur apparence. Sous une apparence de clochard peut se cacher un Saint Homme en Walk-in. Souviens-toi des yeux de cet homme à Barcelone. Tu as compris en les regardant. Son sourire t’as fait comprendre qu’il n’était pas seul. C’est sous leur apparence que les plus Saints d’entre les Saints aiment se cacher dans l’espoir d’être découverts. Retenez bien ceci !

 

Je vous laisse.

 

Soyez bénis ceux de vous tous qui aidez et aimez votre prochain sans distinction de race, de couleur, de religion.

 

Je vous aime.

 

Elayah Ange Au Service De Dieu !

 

 

 

Je suis Sananda. Je suis présent lors de cette canalisation et je voudrais ajouter quelques lignes.

 

Lorsque je suis venu à vous, pendant l'une des mes incarnations connues à vous tous, j’ai préféré être parmi les humbles plutôt que parmi les puissants. Ne vous fiez pas aux apparences. Le Cœur est plus important pour Dieu que tout l’argent du monde. Votre argent ne vous donnera pas de passe-droit pour entrer dans la Maison de Dieu. Seules les vertus engrangées lors de votre incarnation peuvent vous aider à y entrer. Rien ne s’y achète, tout s’y mérite d'incarnation en incarnation comme la Vie Divine d' Inspiration en Inspiration et de respiration humaine en Respiration Divine de ce qu'on appelle le Prāna !

 

Allez en paix mes enfants, en cette période de Pâques pour les Orthodoxes.

 

Je vous aime.

 

Sananda

 

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Le mendiant rencontré à Barcelone.

 

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 18:29

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Les parents d'Anjezë Gonxhe Bojaxhiu sont des commerçants bourgeois et catholiques, Albanais d'ascendance de la région de Mirdita, région du Nord de l'Albanie. Ils ont deux enfants, une fille Age, et un fils Lazare quand Agnès naît à Skopje le 26 août 1910.

 

Kol, son père, tient à ce que tous ses enfants aillent à l’école, garçons et filles, chose relativement rare dans un pays marqué par l'influence ottomane. Les enfants aident aux travaux domestiques et reçoivent par leur mère une éducation religieuse.

 

Ses parents, catholiques pratiquants, aident souvent les pauvres de la ville, et Agnès accompagne souvent sa mère dans la visite aux plus démunis. Drâne, sa mère, conseille à ses enfants « Quand vous faites du bien, faites-le comme une pierre que vous jetez à la mer ». De même ils accueillent régulièrement des pauvres à leur table ; Agnès est marquée par la recommandation de sa mère « Ma fille n'accepte jamais une bouchée qui ne soit partagée avec d'autres ».

 

En 1919 le père d'Agnès est victime d'un malaise et meurt. Elle se retrouve alors orpheline à 9 ans. Les entreprises familiales font faillite et Drâne ouvre un atelier de couture pour subvenir aux besoins de sa famille.

 

La mère éduque ses enfants dans la foi, les enfants participent activement à la vie de la paroisse tenue par des jésuites. La famille organise des veillées de prières, participe aux offices. C'est dans cette ambiance de prière qu'Agnès pense, à l'âge de 12 ans à se consacrer à Dieu, elle met six ans à être convaincue de cet appel. Elle aime la solitude, la lecture, mais sa santé est fragile et elle est victime de rhumes chroniques.

 

Un nouveau père jésuite Franjo Jambrekovic développe dans sa paroisse l'intérêt pour les missions, tant par des prières que des revues ou des conférences de missionnaires qui viennent. À l'âge de 17 ans, elle lui demande comment discerner sa vocation, le père jésuite répond que c'est « par la joie ». Après un pèlerinage au sanctuaire marial de Letnice, elle ressent le désir d'une vie consacrée.

 

Elle demande à sa mère l'autorisation d'entrer dans la congrégation des sœurs de Lorette. Sa mère accepte, malgré l'opposition de son frère Lazare. Agnès postule avec l'aide du père Franjo Jambrekovic et son départ est prévu pour le 25 septembre 1928.

 

Elle quitte sa terre natale le 26 septembre 1928, à l'âge de 18 ans, et rejoint le couvent de l'ordre missionnaire des sœurs de  Notre-Dame de Lorette à Rathfarnham près de Dublin en Irlande. En six semaines elle apprend l'anglais. Le 1er décembre 1928, munie de quelques bases d'anglais, elle part en Inde pour y faire son noviciat.

 

Elle arrive à Calcutta en 1929 ; elle y est très vite choquée par l'extrême pauvreté, elle écrit ses impressions à un journal catholique de son village : « Si les gens de nos pays voyaient ces spectacles, ils cesseraient de se plaindre de leurs petits ennuis ». Elle part ensuite pour Darjeeling où elle fait son postulat et son noviciat.

 

Agnès devient novice le 23 mai 1929 et porte l'habit religieux pour la première fois. Retirée du monde, elle reçoit une formation religieuse et prépare son diplôme d'enseignante. Le 25 mai 1931 elle fait ses vœux temporaires et change de nom pour s'appeler sœur Mary-Teresa.

 

Après avoir travaillé quelques mois dans un dispensaire au Bengale où elle soigne des pauvres, sœur Mary-Teresa devient enseignante à l'école de Loreto Entally à Calcutta, de 1931 à1937. Face à des classes de 300 élèves, sa pédagogie stricte et son service humble la rendent proche des enfants indiens qui l'appellent rapidement « Ma », ce qui signifie « Mère »

 

Elle prononce ses vœux définitifs en Inde le24 mai 1937. Elle devient en 1944 directrice des études à Sainte-Marie, école réservée aux classes sociales supérieures de Calcutta. Elle consacre une partie de son temps aux bidonvilles où elle se rend pour consoler les démunis et les malades, et visiter ceux qui sont hospitalisés à Nibratan Sarkal. Elle écrit à sa mère, et annonce probablement avec fierté sa nomination en tant que directrice ; sa mère lui répond : « Ma chère enfant, n'oublie pas que si tu es partie dans un pays si lointain, c'est pour les pauvres ».

 

Le 10 septembre 1946, au cours d'un voyage en train de Calcutta à Darjeeling où a lieu la retraite annuelle de sa communauté, elle reçoit ce qu'elle appelle « l'appel dans l'appel ». Pendant qu'elle essaye de dormir : « Soudain, j'entendis avec certitude la voix de Dieu. Le message était clair : je devais sortir du couvent et aider les pauvres en vivant avec eux. C'était un ordre, un devoir, une certitude. Je savais ce que je devais faire mais je ne savais comment ». Mère Teresa parle de cette journée comme étant le « jour de l'inspiration ». Mère Teresa ajoute que cette expérience est celle de l'amour de Dieu, qui veut aimer mais aussi être aimé. Elle exprime cette expérience beaucoup plus tard dans une lettre en 1993 revenant sur cette expérience du 10 septembre, en affirmant que Dieu a soif de nous : « Si vous devez retenir quelque chose de la lettre de Mère, retenez ceci : “J'ai Soif” est bien plus profond que Jésus vous disant “Je vous aime”. Tant que vous ne savez pas au plus profond de vous que Jésus a soif de vous, vous ne pouvez pas savoir qui il veut être pour vous. Ou qui il veut que vous soyez pour lui ».

 

Elle ne parle à personne de cette expérience et médite en silence. De retour à Calcutta, elle écrit à son père spirituel jésuite Céleste Van Exem, et lui dit son désir de tout quitter. Il lui recommande de prier et de garder le silence. Peu de temps après il expose la situation à l'évêque  de Calcutta Mgr Ferdinand Perier qui s'y oppose. Sœur Mary-Teresa n'est pas surprise de la réponse et mûrit son désir ; elle veut fonder un nouvel ordre religieux. Elle tombe gravement malade peu de temps après et est envoyée dans un sanatorium dans l'État du Bengale occidental, pour guérir d'un début de Tuberculose. Pendant cette convalescence elle prie et approfondit le message qu'elle a reçu, elle dit découvrir alors que Dieu l'aime mais aussi qu’il veut être aimé.

 

Ce temps de repos est écourté du fait de la crise qui secoue l’Inde: les sœurs rappellent Sœur Mary-Teresa pour répondre aux besoins d'aide. Sa détermination est toujours aussi grande; aussi l'archevêque demande-t-il au Saint-Siège la permission de pouvoir lui accorder l'exclaustration. Le 8 août 1948 elle reçoit la réponse, le pape Pie XII lui accorde la permission de quitter son ordre pour un an.

 

Sœur Mary-Teresa, qui se fait appeler Mère Teresa, prépare son départ après avoir reçu l'autorisation ; elle se confectionne un sari bleu et blanc. Le 16 août 1948 elle quitte avec difficulté les sœurs de Lorette ; elle a cinq roupies en poche.

 

Elle se rend à Patna afin d'y recevoir une formation d'infirmière. Elle revient quatre mois plus tard et loge chez les petites sœurs des pauvres. Elle décide alors de donner des cours dans la rue aux enfants dès le 21 décembre 1948 ; dix jours plus tard ils sont déjà plus de 50 enfants. Elle cherche à louer un local ; elle distribue des savons et en explique l'usage. Elle ouvre dans un autre bidonville de Tiljana une nouvelle école. Elle tente de soigner les pauvres qu'elle rencontre. Certains critiquent la nouvelle vie de Mère Teresa, la trouvant inefficace et utopiste.

 

En janvier 1949 elle recherche à vivre au plus près des pauvres, et ne veut plus vivre avec l'aide des petites sœurs des pauvres ; elle décide donc de chercher un nouveau lieu et grâce à l'aide du père Van Exem elle est accueillie au dernier étage d'une maison de Portugais. Sa vie s'organise entre les temps de prière, l'enseignement aux enfants et les soins aux mourants. Elle reçoit l'aide ponctuelle de laïcs et mendie dans des pharmacies les médicaments qu'elle ne peut payer.

 

Le 15 mars 1949, Mère Teresa reçoit la visite d'une de ses anciennes élèves, qui lui demande de pouvoir la suivre. Quelques jours après elle est suivie par deux autres anciennes élèves. En août 1949, le délai de l'autorisation étant achevé, l'évêque décide de prolonger l'exclaustration de Mère Teresa.

 

Très vite plus de dix jeunes filles décident de suivre Mère Teresa. Elle oblige ses anciennes élèves à achever leurs études supérieures. Au printemps 1950 le Père Van Exem demande à Mère Teresa d'écrire une règle religieuse. Elle écrit la règle en une nuit et décide de choisir le nom de missionnaire de la Charité. Elle choisit ce nom de charité : Αγάπη  amour, Mère Teresa voulant répandre l'amour qui vient de Dieu. Mgr Ferdinand Perier inaugure la nouvelle congrégation le 7 octobre1950. Elles adoptent l'habit du sari comme habit religieux pour se fondre parmi les populations indiennes.

 

Mère Teresa voit un mourant, et décide de l'emmener à l'hôpital, mais l'établissement refuse de le prendre en charge ; et l'agonisant meurt sans avoir été accueilli. Mère Teresa décide alors de s'occuper des mourants et demande un lieu à la mairie de Calcutta, qui lui offre un local à Kaligat proche du temple à la déesse hindoue Kali. Elle appelle la maison « Nirmal Hriday », « Maison au cœur pur - Foyer pour mourants abandonnés ». Les sœurs amènent les mourants les plus pauvres et abandonnés et les soignent avec des moyens rudimentaires.

 

Deux ans après la fondation, Mère Teresa achète une maison, vendue à prix dérisoire par un musulman, pour y établir les sœurs. Mère Teresa exige des sœurs une pauvreté des lieux, qu'elle justifie : « Comment puis-je regarder les pauvres en face, comment puis-je leur dire “je vous aime et je vous comprends” si je ne vis pas comme eux ? ». De même elle refuse l'aide économique du Vatican.

 

La vie est organisée avec des temps de prières le matin et le soir, et la journée au service des pauvres. Mère Teresa affirme que la « prière est la respiration de l'âme. Sans la force que nous recevons de la prière, notre vie serait impossible. ». Elle explique le lien entre la prière et l'action des sœurs missionnaires de la Charité, voyant dans chaque pauvre la présence de Dieu : « Jésus veut rassasier sa propre faim de notre amour en se cachant derrière les traits de l'affamé, du lépreux, du mourant abandonné. C'est pourquoi nous ne sommes pas des assistantes sociales mais des contemplatives au cœur même du monde. Nos vies sont consacrées à l'eucharistie par le contact avec le Christ, caché sous les espèces du pain et du corps souffrant des pauvres ».

 

Un jour Mère Teresa aperçoit un enfant abandonné en train d'être mangé par un chien dans la rue ; elle recueille l'enfant qui meurt quelque temps après. Mère Teresa décide alors de créer un orphelinat. Le nouveau centre Nirmala Sishu Bavan ouvre ses portes le 24 novembre 1955 ; elle y recueille les enfants abandonnés et les propose à l'adoption. Elle ouvre quelque temps après un centre spécialisé pour les enfants qui ne sont pas adoptés, du fait de la croyance au mauvais karma et de la marginalisation des intouchables.

 

Pour Mère Teresa, chaque vie est sacrée, elle s'oppose toute sa vie à l'avortement: « Toute vie est vie de Dieu en nous. Même l'enfant non encore né a la vie de Dieu en lui. Nous n'avons pas le droit de détruire cette vie, quel que soit le moyen employé et pour quelque raison que ce soit ». Son engagement contre l'avortement suit deux axes : éduquer à la méthode de contraception naturelle, et favoriser les adoptions d’enfants de personnes qui veulent avorter.

 

Entre 1948 et 1957 Mère Teresa et les premières sœurs s'occupent des lépreux qu'elles rencontrent, mais sans que ce soit pour autant une priorité. C'est en 1957 qu'elle reçoit 5 personnes qui ont perdu leurs emplois suite à la lèpre, du fait de la croyance au mauvais karma, qui conduit à exclure les lépreux de la société.

 

Mère Teresa cherche alors à ouvrir un centre pour les lépreux, mais les sœurs sont accueillies par des jets de pierre, Mère Teresa décide donc d'envoyer des ambulances pour soigner les lépreux. Ce moyen ambulant permet ainsi de soigner les lépreux en les rejoignant.

 

Devant les difficultés financières, le père Van Exem publie une annonce dans un journal afin de demander des soutiens. Mère Teresa est invitée à la BBC pour témoigner et demander de l'aide. De nombreuses personnes répondent, mais elle ne se satisfait pas de la seule aide financière : elle demande aux coopérateurs d'aider là où ils sont, en se consacrant à leur entourage et à la prière.

 

L'année 1959 marque ce que Mère Teresa appelle le « troisième pas de ma vie ». Dix ans après sa fondation sa congrégation peut se développer en dehors des limites de son diocèse de Calcutta.

 

Mère Teresa s’implante à Ranchi, puis à New Dehli en présence de Nehru. L'année suivante elle fonde des missions à Jansi, Agâ, Asansal et Bombay où elle s'offusque publiquement de l'extrême pauvreté qui y règne. En 1962 elle reçoit la première décoration Padma Shri des mains du président indien pour son œuvre.

 

En mars 1963 les premiers hommes fondent les frères missionnaires de la charité.

 

En 1963, Mère Teresa s'oppose en vain à la destruction d’un hôpital de lépreux à Calcutta ; elle décide de créer en 1963 une cité pour lépreux, la Cité de la paix à Asansol. La cité commence dès 1964. Le Pape Paul VI en visite en 1965 en Inde demande à Mère Teresa «  Que puis-je faire pour vous ». Elle lui répond « Donnez-moi la moitié de votre Vatican pour y loger mes pauvres ». Suite à cela, il offre sa limousine à Mère Teresa qui décide alors de la mettre aux enchères afin de pouvoir financer la construction de sa cité.

 

Dès 1965 les missionnaires de la Charité s’implantent en Amérique Latine à la demande du pape Paul VI. Mère Teresa refuse cependant tout engagement politique des sœurs, choisissant d’aller dans tous les pays, même dans les dictatures comme Haïti, les Philippines ou le Yemen musulman, ce qui lui est très vivement reproché

 

En 1968 à la demande de Paul VI, elle ouvre une maison à Rome, et découvre alors la grande pauvreté qui existe aussi dans le monde occidental. Dans le même temps, les sœurs œuvrent au Bangladesh, pays dévasté à cette époque par la guerre d'indépendance. L'œuvre s'étend peu à peu partout où est la pauvreté, même dans des régions et des pays peu favorables aux chrétiens, et jusque-là interdits à tout missionnaire.  

 

En 1969 les missionnaires de la Charité sont reconnues de droit pontifical. En 1971 Mère Teresa reçoit le prix Jean XXIII du pape Paul VI, ce qui marque le début de la reconnaissance mondiale de son œuvre. Elle fonde alors une maison à New York ainsi qu’un noviciat à Londres.

 

En 1976 elle décide de fonder l’ordre des sœurs contemplatives, les sœurs du Verbe qui consacrent leurs temps à la prière pour les pauvres ; elle en fonde la première maison à New York.

 

En 1978, elle reçoit le prix Balzan pour l'humanité, la paix et la fraternité entre les peuples. En plus de ses nombreuses médailles, Mère Teresa est docteur honoris causa de plusieurs universités.

 

Le 17 octobre 1979, Mère Teresa reçoit le prix Nobel de la paix qu'elle accepte « au nom des pauvres ». Elle refuse le dîner de gala organisé en son honneur et demande que soit plutôt versé l’argent du dîner pour ses pauvres, ce qui sera fait.

 

À partir de ce moment la vie de Mère Teresa devient fortement médiatisée. Mère Teresa critique alors le matérialisme et l'égoïsme des sociétés occidentales, elle élargit son discours sur la pauvreté et parle de la faim spirituelle: « L'amour naît et vit dans le foyer. L'absence de cet amour dans les familles crée la souffrance et le malheur du monde aujourd'hui. Nous avons tous l'air pressé. Nous courons comme des fous après les progrès matériels ou les richesses. Nous n'avons plus le temps de bien vivre les uns avec les autres : les enfants n’ont plus de temps pour les parents, ni les parents pour les enfants, ni pour eux-mêmes. Si bien que c'est de la famille elle-même que provient la rupture de la paix du monde ».

 

En 1982, sur une des hauteurs du siège de Beyrouth, mère Teresa sauve 37 enfants hospitalisés pris au piège dans une ligne de front entre l'armée israélienne et la guérilla palestinienne. Elle provoque un cessez-le-feu, et accompagnée par la Croix-Rouge, elle traverse la zone de tir jusqu'à l'hôpital dévasté pour évacuer les jeunes patients.

 

En 1984, elle fonde les « pères missionnaires de la Charité » avec le père Joseph Langford. Le 11 décembre de la même année, elle vient assister les victimes de la catastrophe de Bhopal, quelques jours après le désastre. En 1985 elle reçoit de Ronald Reagan la plus haute distinction américaine. La même année elle crée à New York le premier foyer pour les victimes du sida, qui vient de faire son apparition.

 

Le déclin de l’URSS marque le début des fondations dans les pays de l’Europe de l’Est en 1989.

 

En cette même année 1989, Mère Teresa est victime d’un arrêt cardiaque, et elle décide de démissionner de la charge de supérieure des Missionnaires de la Charité. Elle est cependant réélue en 1990. Elle continue ses voyages malgré sa santé fragile, et fonde une maison en Albanie, pays de sa naissance. En décembre 1991 elle est de nouveau victime d’un arrêt cardiaque, elle se repose mais reprend ses visites dans le monde entier, cherchant à fonder en Chine.

 

Mère Teresa a une tumeur à l'estomac. Le 5 septembre 1997, elle est amenée d'urgence à l'hôpital ; c'est vers 14h30 qu'elle décède des suites de cette tumeur.

 

 « J'ai Soif »

 

Mère Teresa est très marquée par l'expérience du 10 septembre 1946, et bien qu'elle soit discrète pendant des années sur cette expérience, elle met les paroles de Jésus lors de la Passion « J'ai soif » dans toutes les chapelles des missionnaires de la Charité.

 

Quand elle explique son expérience du 10 septembre 1946, elle affirme avoir expérimenté la « soif de Dieu » comme étant les « profondeurs du désir divin infini d'aimer et d'être aimé ». Elle conçoit alors sa vocation comme répondre à cette soif de Dieu, aimant les pauvres dans lesquels elle voit Dieu : « Pour moi, ils sont tous le Christ- Le Christ dans un déguisement désolant ».

 

Elle explicite cette « soif de Jésus » lors la lettre dite de « Varanasi » écrite aux missionnaires de la Charité, le 25 mars 1993, dans laquelle elle affirme « Si vous devez retenir quelque chose de la lettre de Mère, retenez ceci: « J'ai soif » est bien plus profond que Jésus vous disant « Je vous aime ». Tant que vous ne savez pas au plus profond de vous que Jésus a soif de vous, vous ne pouvez pas savoir qui il veut être pour vous. Ou qui il veut que vous soyez pour lui. » Mère Teresa poursuit « Jésus a soif, même maintenant, dans votre cœur et dans les pauvres, il connaît votre faiblesse. Il veut seulement votre amour, il veut seulement la chance de vous aimer. ».

 

Alors que Mère Teresa embrasse pleinement sa vocation missionnaire, elle insiste tout autant sur la nécessité d'une vie contemplative de prière. Ainsi, malgré la surcharge de travail, elle insiste pour que chacune des Missionnaires de la Charité puisse participer à l'Eucharistie et passer une heure devant le Saint Sacrement chaque jour. Pour Mère Teresa, la prière n'est pas du temps pris sur le service des pauvres, mais bien une partie essentielle de celui-ci : « plus nous recevons dans la prière silencieuse, plus nous pouvons donner. »

 

Malgré sa souffrance physique et psychologique et la pauvreté qui l'entoure, Mère Teresa défend toute sa vie durant la réalité du bonheur terrestre accessible par la simplicité. En s'appuyant sur son expérience et celle des hommes et des femmes qui l'ont suivie, Mère Teresa trace un chemin tout simple vers le vrai bonheur qu'elle résume dans son dernier ouvrage Un Chemin tout simple publié de son vivant en 1995. Ce chemin se résume en cinq lignes qu'elle imprime sur des petits cartons jaunes qu'elle distribue à ses visiteurs:

 

« Le fruit du silence est la prière. Le fruit de la prière est la foi.

 

Le fruit de la foi est l'amour.

 

Le fruit de l'amour est le service. Le fruit du service est la paix. »

 

— Mère Teresa, Un Chemin tout simple

 

Bien que souvent accusée de mythifier la pauvreté et de prêcher un plaisir de la souffrance, Mère Teresa fait une distinction entre la pauvreté librement choisie des religieux, qui est un signe, et la misère imposée, qui est le résultat de la pauvreté. Pour elle, « c'est le résultat de notre refus de partager. Dieu n'a pas créé la pauvreté, il nous a seulement créés, nous ».

 

Dans le silence, Mère Teresa vit pendant 50 ans une «nuit de la foi». Largement commentée dans les milieux chrétiens à l'époque de sa béatification, cette épreuve apparaît avec une précision jusque-là inédite avec la publication de Mother Teresa : Come be my Light (Mère Teresa : Viens, sois ma lumière), un ouvrage compilant des lettres rédigées au cours des soixante dernières années de sa vie.

 

Elle avait ainsi confié en 1979 à son confesseur le Père Michael Van Der Peet : « Pour moi, le silence et le vide sont si importants que je regarde et ne vois pas, que j'écoute et n'entends pas ». À la lecture de ses lettres, les tourments permanents de mère Teresa sont révélés dans toute leur ampleur. Sa tranquillité se comprend mieux à la lumière de ses enseignements : « Dieu aime celui qui donne avec joie et Il prend tout contre, la religieuse qu'Il aime ».

 

Poursuivant sa mission de répandre l'amour auprès des plus pauvres, Mère Teresa, plutôt que de se laisser écraser par le désespoir, trouve dans cette épreuve une opportunité de se rapprocher des pauvres qu'elle sert :

 

« La situation physique de mes pauvres abandonnés dans les rues, indésirables, mal aimés, délaissés - est l'image fidèle de ma propre vie spirituelle et de mon amour pour Jésus »

 

— Mère Teresa, Extrait d'une lettre à son directeur spirituel le père Neumer

 

 

 

Son rayonnement dépasse tous les clivages religieux et culturels. Ainsi, les musulmans bengali l'appellent la Zinda Pir, ou Sainte Vivante ; le Dalaï-Lama affirme « C'est un être pour qui j'ai le respect le plus profond. Dès l'abord, j'ai été frappé par l'absolue humilité de son comportement. Du point de vue bouddhiste, elle pourrait être considéré comme un bodhisattva ».

 

L’Église catholique reconnaît dans un temps record l’héroïcité de ses vertus, et elle est béatifiée en octobre 2003 par Jean-Paul II.

 

La célébration solennelle de la béatification de Mère Teresa a lieu le 19 octobre 2003 sur la place Saint-Pierre, à Rome.

 

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7 avril 2012 6 07 /04 /avril /2012 09:10

Je te remercie que tu m'honores avec la pensée de traduire ce message que j'avais donné à Isabelle depuis longtemps.

 

Chaque fois que vous fêtez Pâques comme vous l'aviez établi, m'attriste, spécialement, l'ensemble des pensées et de tout ce que vous envoyez vers moi.

 

Vous pensez que je ne vous sens pas, que vous m'accusez, sans savoir ni qui je fus, ni de qui, la consigne, j'avais obéi !

 

Je vous souhaite, quand vous allez passer de l'autre côté, de ne pas regretter trop, en regardant et en vivant le film de votre vie.

 

Dans moi même je suis fier que j'avais servi mon frère, parce que Sananda pour moi, mais Jésus pour vous, fut mon frère. Vous ne connaissez pas que Joseph, avec Marie, avaient 9 enfants, l'aîné de tous fut Jésus.

 

Il vous l’avait dit lui-même, ils vous l'avaient confirmé, Gabriel et Jean l'Evangéliste, Marie, la mère de Jésus, te l'avait dit et elle t'avait donné un message merveilleux!

 

J'attends avec joie, de servir à tout ce que, le Père de Tous me demandera de nouveau sur votre terre, quand elle sera établie la 5eme dimension et cela sera ma joie, alors de venir et servir l'enseignement de Sananda.

 

Parce que en ce moment-là, tous, vous allez connaître la vérité et vous aurez rétablie celle-ci dans vos cœurs, comme ainsi l'enseignement Sacré des Nombres Initiatiques, que Sananda te donne et, tu as vu ce que symbolise en grandeur et en beauté le nombre avec lequel ils m'ont caractérisé !

 

Œuvre de la non lumière fut et je te remercie pour l'hospitalité, comme elle t'avait dit Marie Madeleine, tous nous aimions et nous honorions Salomé parce que, pour nous, elle fut l'autre moitié de Jésus !

 

Bien sûr le Christianisme aurait eu du succès, si les gens suivaient tout ce que Sananda avait donné. Mais c'est normal, que, quand vous changiez les fondations de base de n'importe quel bâtiment, tôt ou tard cela ne tombera-t’il sur vos têtes ?

 

Alors qu'ils attendent, les honorables prélats, pharisiens et hypocrites de vos églises, de voir ce que Shiva leur a préparé !

 

Je souhaite que la résurrection réelle de la Lumière Divine de briller dans vos cœurs, parce qu'autant des bougies vous allez allumer et tant des offrandes que vous allez faire, autant de fois que vous arrivez sur la terre, si l'Amour pour Sananda ne s'établit pas dans vos cœurs, vous n'avez pas accès à ce que Christ intercède !

 

Si seulement, vous me compreniez, mais malheureusement pour vous, je suis de l'autre coté, et je vois comment les choses s'accélèrent, tu vois combien des messages tu en reçois !

 

Je vous le dis cela car, à moi-même Judas, vous ne me prêtez pas beaucoup d'attention si, je vous explique quelque chose, mais faites un peu de patience encore, et comme cela a été déjà dit, qu'avez-vous à perdre ?

 

Bien sur que, vous ne connaissez pas ce que vous avez à gagner, tous ceux de vous qui vous allez ouvrir votre cœur, à tout ce que mon frère Jésus, vraiment comme Sananda avait exprimé, et pas tout cela que vos prêtres charlatans se vantent de savoir.

 

Tous ceux là, si aujourd'hui, il allait se présenter de nouveau, pensez-vous qu'ils n'allaient pas le crucifier de nouveau avec joie, pour ne pas perdre leurs biens acquis.

 

Cela m'attriste, la situation sur votre planète...moi que j'avais déjà vécu en une précédente incarnation à moi, en cherchant la Lumière et en servant Dieu, elle m'attriste la situation dans laquelle vous, vous en êtes mis.

 

Comme justement est appelée Kali Yuga

 

Mais heureusement nous sommes à la fin, faites-en un peu de patience encore !

 

Nous sommes à la saison du printemps et Gabriel te l'avait dit, ainsi que Marie la nôtre bien -aimée Panagia -Isis que le printemps éternel n'est pas loin.

 

30/3/2010

 

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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 19:01

En ce vendredi saint, je remets ce message de circonstance.

 

Je suis Judas Iscariote, celui que vous avez jugé comme un traître, tout comme vous avez jugé Salomé comme un assassin. Nous sommes tous les deux victimes de l' Histoire, tous les deux victimes de l' Amour de notre prochain.

 

Jésus n'était pas pour moi qu'un simple maître et moi son disciple, nous étions frères et nous nous aimions.

 

En cette veille de semaine sainte, comme comme vous l'appelez, je me dois de rectifier une vérité, la Vérité Historique.

 

En ce soir du jeudi saint, après notre arrivée à Jérusalem sous les acclamations d'une foule en délire qui acclamait mon frère en tant que roi d' Israël, en lieu et place d' Hérode, le régicide, Jésus a très vite compris que la Pâque juive que nous venions fêter dans la ville sainte serait entachée de sang, car, tout comme son cousin fut arrêté et condamné pour ses idées, ni le sanhédrin, ni l'occupant romain ne laisseraient passer un tel affront et une telle opportunité pendant cette fête sacrée.

 

Ce soir-là, nous nous réunîmes pour manger entre disciples le repas du soir. Nous étions plus de douze, comme la tradition le dit, d'autres disciples et amis habitant Jérusalem, ainsi que Marie de Magdala et notre mère se trouvaient à ce repas. Salomé ne se trouvait pas présente, elle était retenue au loin par des obligations. Nous avons discuté de l'éventualité d' une arrestation. Nous étions certains qu'elle se produirait, et que nous, ses disciples serions arrêtés nous aussi. Jésus décida de renvoyer Marie Madeleine et ses enfants à Bethanie auprès de son frère, mais pressentant le malheur, sitôt arrivée et ses enfants en sécurité, elle fit demi-tour.

 

Pendant ce temps, Notre Sauveur fit sortir de la pièce où nous nous trouvions le plus grand nombre des disciples réunis et ne garda avec lui que les plus fidèles ceux en qui il avait une entière confiance. Il craignait qu'en cas d'arrestation par les romains, la foule s'y oppose et que cela se termine dans un bain de sang.

 

Il avait envisagé 2 possibilités:

 

- Soit il fuyait comme un lâche pendant la nuit et son enseignement serait irrémédiablement perdu, et lui la risée de tous

 

- Soit il affrontait ses juges avec, au mieux, une libération après la Pâque, après tout, il n'avait pas de sang sur les mains, ce que l'on pouvait juste lui reprocher était de ne pas suivre la loi juive telle qu'elle avait été écrite et de respecter les commandements de la doctrine qu'il disait être la seule issue de Dieu, dont il avait compris être lui-même issu. Il avait, bien entendu, en tête, le sort funeste de son cousin Jean, et bien que ça l'effrayât, il refusa de mettre dans la balance la vie d' une multitude de gens qui lui faisaient confiance, face à sa propre vie.

 

Alors, après avoir partagé le pain et le vin lors de ce repas qui resta si célèbre pour vous, il nous demanda de le dénoncer aux autorités romaines pour que l'arrestation se fit de nuit dans un endroit désert. Ce fut à Pierre qu'il demanda ce sacrifice, ce qu'il refusa. Ni lui, ni personne ne pouvait envisager de faire une chose pareille. Alors, il s'adressa à moi et me dit:

 

- " Toi mon frère aimé, fais-le pour l' Amour que tu me portes et l' Amour de ceux qui nous acclament "

 

- " Mais Seigneur, ils risquent de te mettre à mort ! "

 

- " J'y ai pensé, j'ai des fils, vous les protégerez, ils sont ma descendance, et si ma descendance se perd, vous êtes mes frères et avez aussi une descendance, ainsi que mes cousins, ainsi la descendance de David ne sera pas perdue."

 

- " Mais Seigneur, sachant l' amour que je te porte, ils se douteront de quelque chose !"

 

Là, j'avais marqué un point. Mais il se reprit et me dit:

 

- " Demande de l'argent pour prix de ta trahison, après, tu le donneras aux pauvres "

 

Je me suis effondré en pleurs, je savais qu'il agissait pour le bien de tous. Il me dit les paroles et le lieu où je devais amener les soldats et demanda qu'on aille quérir sa bien-aimée et la prévenir de son arrestation aussitôt celle-ci effective. Il disait avoir confiance car Pilate était son ami, et était sûr qu'aucun sort funeste ne viendrait de par lui. Comme il se trompait !

 

J'ai obéi à mon frère et l'ai livré aux romains. Les larmes me viennent encore rien que d'y penser. Comment ai-je pû accepter une telle chose, trahir mon propre frère, même à sa demande?

 

Il fut fait selon sa volonté. Pilate fut averti et autorisa Marie Madeleine à le visiter dans sa prison, ce fut la dernière fois qu'il vit sa femme.

 

Lors du jugement qui fut à une heure très matinale, à la demande des prêtres, afin que ses nombreux disciples fussent avertis trop tard que pour défendre sa cause, il fut condamné à la crucifixion ! Et je me condamnai à mort moi aussi à l'instant où il le fut !

 

Je l'accompagnai, caché, dissimulé sous une cape et sous mes larmes, tout le long de son calvaire. De loin, je le vis être mis en croix, sous les yeux de notre mère, et de son épouse enceinte. Tout le temps de son agonie, je refusai toute boisson et toute nourriture. Comment aurais-je pu m'alimenter alors que j'étais la cause de ses tourments ! Je vécus de cette manière l' agonie et la mort de mon frère tant aimé.

 

Mais alors que je croyais le cauchemar terminé, je vis Salomé accourir en hurlant de voir son aimé sur cette croix. Elle passa outre la volonté des gardes et se jeta sur les pieds du Seigneur, entravés par un clou énorme, et tout en pleurant, tenta en vain et à mains nues de l'arracher !

 

Quand elle fut repoussée par les gardes et pris conscience que l'homme qu'elle aimait avait cessé de vivre, elle prit le glaive d'un des soldats et tenta de se l'enfoncer dans l'abdomen, mais ne réussit qu' à se blesser. Elle fut emmenée par les autres, femmes et disciples qui se trouvaient à proximité. Cela, vos évangiles n'en disent pas un mot !

 

Moi, c'était plus que je ne pouvais en supporter. J'ai jeté l' argent de mon forfait et me suis pendu ! Il m' attendait de l' autre côté et m' a demandé pardon ! C'est moi qui l' ai mené à la mort et il me demande pardon !

 

Plus jamais je n'ai voulu m' incarner sur cette planète. Mon cycle d'incarnation n' est pas terminé, mais tant que cette planète n'aura pas terminé son ascension et que les hommes seront obligés de vivre de telles culpabilités en pensant aider son prochain, jamais je ne me réincarnerai parmi vous.

 

Alors, amis éveillés de Gaia, quand on vous demande de faire quelque chose, quand un ordre vous est donné, SUIVEZ TOUJOURS VOTRE CONSCIENCE AFIN QUE LE REMORDS NE VOUS TUE PAS ! Et en cette veille de Pâques, priez et ayez pitié du pauvre Judas dont vous avez fait un synonyme de traître, ce qu'il n' était pas.

 

Allez en paix, amis, et n'oubliez pas ce conseil.

 

 

 

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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 11:15

Je suis le Fils de l’Agneau Divin. Je suis le Rédempteur, Celui qui est venu vous aider à annoncer au monde le chemin qui vous mènera à Celui que vous nommez Dieu.

Je suis venu parce que les hommes ne voient plus que leur orgueil au point de laisser de côté les envoyés divins et de ne pas distinguer la non-lumière de celle qui éclaire la route qui vous emmène loin de la folie de vos semblables et vous obligent à suivre la mauvaise direction où vous ne mènera aucune route de la Gloire de Dieu.

Seule une poignée de vos semblables me fera confiance.

Seuls ceux qui voient avec leur cœur marcheront sur le Chemin annoncé dans la nuit noire de vos egos surdimensionnés.

Je viens te dire que le Chemin est dur à trouver et dur à suivre mais ceux qui trouvent la force de laisser leur cœur allumé à Dieu et aux autres trouveront ce chemin difficile pour la plupart des gens.

Tu dois savoir que les ronces jonchent la route de bien des initiés et élus au cœur pur. Il faut s’armer de courage pour atteindre le bout de ce Chemin. Dieu est au bout et rares sont ceux à Le trouver car il est plus facile de se perdre en chemin que de suivre la Lumière Divine qui brille entre les ronces.

Ceux qui n’approchent pas les ronces ne trouvent pas la Lumière Divine cachée dessous.

Une vie trop facile ou trop superficielle ne permet pas de voir les choses en profondeur. Car le Royaume de Dieu est caché à ceux-là qui pensent avant tout à éliminer de leur chemin tout ce qu’ils pensent n’être pas nécessaire à leur bien-être mais ils éliminent aussi les phares qui les guideraient dans la nuit noire. Et leur nuit devient de plus en plus noire alors qu’ils se pensent dans la lumière. Car la lumière des hommes n’est pas la Lumière de Dieu.

Celui qui ne choisit que la facilité ne choisit pas le chemin qui mène à Dieu. Il s’enfonce au lieu d’atteindre le but de sa quête.

Il me semble que cette mise au point est indispensable en cette période où la haine a remplacé l’amour.

Sache, mais tu le sais déjà, que Dieu n’a JAMAIS supporté que l’on tue en Son Nom, que l’on répande la terreur en Son Nom, que l’on fixe des lois iniques en Son nom.

Non, il n’arrive pas au cœur de Dieu celui qui agit selon les lois fixées par les hommes au nom de Dieu.

L’Amour est Le Seul et Unique Chemin qui ne peut vous mener que sur les chemins de la Foi en l’Amour de Dieu qui mènent à Dieu et en Son Cœur en évitant les pièges que dresse la Lumière Non Divine, c'est-à-dire la lumière, la non-lumière et la demi-lumière !

Apporte ce message au monde. Qu’il soit diffusé et semé sur votre outil et traduit si possible en un maximum de langues afin qu’il atteigne un maximum de lecteurs pour qui importe d’obéir aux Lois Divines.

Va en paix.

 

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 18:02

Dieu nous a donné les portes du Paradis elles sont 4 !

Si nous voulons être Ses enfants, nous devons trouver toutes les 4 !

L'une est l'Amour, porte facile .

Tous les gens aiment beaucoup plus eux-mêmes mais jamais Dieu!

L'autre est l'Humili, une des portes difficiles.

Tous veulent avoir Dieu sur leurs pieds, mais aussi être les seigneurs des autres !

L'autre est la Dévotion, parce que seulement le dévot est simple, il connait que Dieu est Le TOUT !

La quatrième est la plus difficile, parce que tu ne la traverses pas si tu n'as pas trouvé les 3 autres, c'est seulement à ce moment là qu'elle ouvre ! Elle s'appelle Pardon!

Elle est l' unique porte que si tu as perdu les autres portes elle t'aide à les retrouver où elles se trouvent mais quand ? Quand tes yeux ont des larmes, alors là tu peux perdre instantanément le contact avec les autres !
Elle s'appelle pardon ! Elle est l'unique qui te montre vers où se trouve Dieu comme le Nord sur vos boussoles !

Vous pouvez trouver le Nord si vous savez où est l' Est, mais il est nécessaire l'Ouest ou le Sud, seulement avec le Nord comme guide vous vous dirigez vers Dieu ! D'autres routes vous amènent ailleurs!


Le Saint d'Egine
le pauvre Nektarios !
26/3/2012

 

http://asterionerga.blogspot.com/2012/03/26-3-2012.html

 

 



 

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